Pour le député national, Paul Balenza, « la situation de la pandémie à Covid-19 et le recensement reconnu par la constitution, peuvent être des raisons valables de retarder la tenue des élections en 2023 ».
D’après cet élu qui s’exprimait à l’occasion de l’ouverture de la session ordinaire au parlement, « il revient au premier ministre de s’occuper plus de social et réajuster les tirs que son prédécesseur n’a pas accomplis ».
« la Covid-19 peut être l’une des raisons de retarder les élections, comme aujourd’hui les gens parlent du recensement que je pense que c’est constitutionnel. On ne peut s’en échapper parce que dans la constitution il faut 5 ans pour ça. Pour ce qui est de nos bases, nous allons demander au premier de s’occuper plus du social et de réajuster les tirs que son prédécesseur n’a pas accomplis », a-t-il laissé entendre tout en précisant que c’est aux techniciens de confirmer.
« Les évêques sont des congolais comme tout autre congolais, qui peuvent aussi réclamer les élections. Si la CENCO alerte sur la tenue des élections ce n’est pas mauvais », a-t-il conclu.
La question de l’organisation des élections en 2023 est actuellement sujet à discussion au sein de la classe politique et sociale. Des voix se lèvent de gauche à droite pour appeler le pouvoir en place à tout mettre en place pour respecter les dates de la tenue des scrutins.
José Muyaya