L’eau a coulé sous le pont au sujet de l’opération de vente des plaques d’immatriculation et casques pour taximen- motos.
L’agitation néée à la fin du moratoire des vingt jours accordé aux Wewa (motocyclistes), avait fini par voir ces derniers s’exécuter pour se mettre à l’abri de la traque policière. Des milliers des plaques d’immatriculation et casques ont été vendus par le gouvernement provincial de Kinshasa.
Cependant, un fait a laissé les spécialistes perplexes; l’opération se déroulait dans les coins de rues et l’argent se percevait en mains propres et non à la banque comme l’exige la tradition.
Pour 55 Dollars américains payés par motocycliste, l’exécutif provincial a renfloué ses caisses comme jamais auparavant. Seulement, un flou entoure jusque-là, la traçabilité des fonds générés. Combien a-t-on perçu, qu’en-est-il de l’utilisation, l’hotel de ville de Kinshasa peut-il en toute transparence justifier la destination ?
Pour des analystes, ce sont des préoccupations à même de susciter la curiosité de l’Assemblée provinciale de Kinshasa.
Sinon, le silence à répétition de l’organe délibérant de la ville capitale a toujours étonné plus d’un. Pareilles perceptions méritent des explications sur la traçabilité des fonds générés au moment où Kinshasa miroir du pays fait face à plusieurs défis pour son développement.
Zamenga Odimbale