Le Groupe parlementaire CACH exige « un examen préalable et sans complaisance du rapport des activités de la CENI et même l’évaluation du processus électoral tout entier et l’intégration des ajustements structurels nécessaires » avant la désignation des animateurs de cette institution d’appui à la démocratie. Une prise de position qui intervient alors que les confessions religieuses s’activent à trouver le successeur de Corneille Naanga.
Dans leur déclaration, les députés nationaux appartenant à la coalition CACH reconnait avoir appris toujours par la voie des ondes la désignation du candidat président de la CENI « sur demande de la présidente de l’Assemblée nationale ». Voilà pourquoi le Groupe parlementaire CACH
fustige cette « désignation irrégulière, partielle et partiale ».
« Ce n’est qu’après ces préalables que la désignation de tous les membres du bureau devra se faire au même moment et conformément
à la loi », ajoutent ces élus.
Rachidi Mabandu