La cérémonie de remise officielle de médicaments par le laboratoire PHATKIN aux quatorze (14) zones de santé que compte la province du Lualaba, a eu lieu le lundi 4 octobre 2021, à l’hôpital général de référence Mwangeji de Kolwezi.
L’activité s’est déroulée en présence du Ministre provincial de la Santé Jules Kabwit.
Le don de ces médicaments rentre dans le cadre du Projet de développement du système de santé (PDSS), financé par la banque mondiale. Et sur chaque subside, l’on retient 20% et ce dernier est converti en médicaments.
» (…) Il s’agit d’un projet qui appuie 11 provinces dans la République Démocratique du Congo dont la province du Lualaba. Ce projet appuie 14 zones de santé dans la province du Lualaba dont 13 zones de santé sont de santé cas et une zone de santé témoin », a souligné le docteur Gérard Mbwamb, chef de division provinciale de santé (DPS/Lualaba).
Et de renchérir : « Sur le financement que la banque mondiale donne au travers le projet PDSS (Projet de Développement du Système de Santé) à toutes les 210 formations sanitaires de la province du Lualaba, 20% de ce montant avait été déjà retenu à la source et cela déjà fait trois trimestres et ce 20% a été converti en médicaments ».
PHATKIN va assurer la logistique pour la distribution de médicaments dans les coins et recoins où se trouvent les zones et les structures sanitaires de la province du Lualaba.
« Le laboratoire PHATKIN a déjà organisé sa logistique de façon à répondre à tous les obstacles, nous étudions toujours le plan des obstacles en avance », a dit le pharmacien Binene Papy, responsable du laboratoire pharmaceutique PHATKIN.
Par la même occasion, le Ministre provincial en charge de Santé a lancé un plaidoyer à la banque mondiale pour la poursuite du projet.
» Je profite, par la même occasion, pour lancer un plaidoyer au près de la banque mondiale pour que ce projet qui tend à aider nos communautés puisse se poursuivre afin que le résultat obtenu soit susceptible à envisager le mécanisme de pérennisation avec les différents parties prenantes », a-t-il dit.
Nancy Mbuyu, à Kolwezi