Aveuglé par les officines politiciennes contre Joël Cadet NDANGA : Kabulo Muana Kabulo signe la fin de sa carrière élogieuse ! (Tribune)

François Kabulo Muana Kabulo, ce journaliste talentueux qui a fait la pluie et le beau temps, comme grand reporter de renommée mondiale en sports, vient de signer son certificat de fin carrière journalistique. Ce, pour avoir violé les textes qui régissent l’Union Nationale de la Presse du Congo dont il assumait l’intérim à la cavalière après l’éjection du Président élu deux fois, au Congrès de Moanda, d’abord et puis à Kinshasa, par ses pairs.

Une éjection dont la décision a été attaquée en justice par devant le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe, qui après plusieurs audiences a fini par rendre son verdict au cours de son audience du 22 septembre 2022, dans l’affaire sous le RC 121.110 opposant le Journaliste Joël Cadet NDANGA contre l’UNPC, dont le jugement signifié à celle-ci, ce mardi 21 février 2023 au siège du cadre fédérateur de la presse sise avenue de la presse, Immeuble Moanda, n°23, dans la commune de la Gombe à Kinshasa.

Cet ancien du Collège Bandayi, que beaucoup à l’époque donnaient pour Burundais, s’est fourvoyé pour interjeter l’appel dan une affaire où il n’a ni droit, ni qualité, poussé certainement par la haine et la jalousie qu’il développe contre son jeune frère Joël Cadet NDANGA.


Il s’est permis, sans qualité, ni droit pour donner une procuration spéciale à Me Patient Kitenge, Avocat inscrit au Barreau de Kwilu. Un avocat qui veut saper sa carrière en s’engageant dans une affaire dont il ne s’est donné aucune peine pour lire les textes qui régissent l’Asbl dont il reçoit le mandat pour aller en justice.

François Kabulo signe cette procuration spéciale en tant que Président de la Commission de Discipline et d’Ethique Professionnelle et affiche ainsi un gangstérisme, digne d’une rébellion et d’une usurpation des pouvoirs du Comité Directeur de l’Union Nationale de la Presse du Congo, exercés par le Président de l’Union seul.

Kabulo et son allié sont allés au départ en rébellion contre la première décision prise dans cette affaire, rendue comme Jugement avant dire droit suspendant l’exécution de la Décision de la Commission de Discipline et d’éthique professionnelle, Tribunal des pairs, ayant conduit à la suspension temporaire de Joël Cadet NDANGA, comme Président de la dite Commission après une action introduite par un sous-traité, qui n’avait ni qualité, ni intérêt immédiat lésé pour mériter les dommages au motif que Joël Cadet NDANGA serait entré en altercation avec son confrère après une émission sur CCTV.

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Il a continué à siéger et convoquer les plénières oubliant qu’il est passible de poursuites judiciaires pour rébellion aux décisions de justice.

Comme il ignore tout, il est possible de croire qu’il s’agit d’une cécité qui l’enfonce dans le mal dont il pourra regretter les conséquences alors qu’il est non seulement au soir de sa vie, mais aussi et surtout en âge de la retraite, mais gardé dans la profession par pitié.

En effet, seul le Président de l’Union, ici entendu comme Président du Comité Directeur et du Bureau Exécutif de l’UNPC,  »a la qualité pour ester en justice au nom de l’Union, en demandant et en défendant, avec l’autorisation du Comité Directeur », conformément à l’article 29 des Statuts de l’Union Nationale de la Presse du Congo.

En outre, l’Article 40 du Règlement intérieur de l’UNPC stipule :
« Le Président engage l’Union Nationale de la Presse du Congo en toutes circonstances.
Il a la charge de veiller au respect des statuts et des décisions du Congrès, du Conseil de gouvernance et du Comité Directeur.
Il est représenté, en toutes circonstances et selon le cas, par l’un des Vice-présidents ou le Secrétaire Général.
Il signe, avec le Secrétaire Général, les correspondances et tous les actes qui engagent l’Union.
Il peut déléguer son pouvoir à l’un des Vice-présidents, par un acte écrit.
Il a qualité pour ester en justice au nom de l’Union, en défendant et en demandant avec l’autorisation du Comité Directeur

D’où vient alors ce zèle amer qui pousse cet homme qui a fait rêver plusieurs jeunes pour s’enliser alors que beaucoup aujourd’hui font le reportage sportif pour avoir été leur modèle ?
C’est la question que l’on se pose lorsqu’on interroge les bourdes qu’il a commises depuis qu’il gère par défi le Tribunal des pairs qui est devenu un cadre de règlement des comptes et d’enrichissement facile lorsqu’il se fait caresser dans le sens des poils par les puissances politiques ou socio-culturelles au détriment des journalistes.

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Parce que malgré toutes ses élucubrations contre le oint de l’Eternel, Joël Cadet NDANGA, à qui il voue une haine viscérale, l’Union Nationale de la Presse du Congo a perdu devant ce journaliste, Internationaliste, Juriste et Expert en communication dont les actions sont palpables et elle a été obligée de lui payer 2000$ en termes des DI.

Contacté par notre Rédaction, le Président de la Commission de Discipline et d’Ethique Professionnelle, Joël Cadet NDANGA avoue qu’il reste serein et attend avec empressement la fixation de l’appel pour y répondre.

Il dit: « Ce n’est pas pour rien que 20 ans après ma licence en Relations Internationales à la Prestigieuse Université de Lubumbashi et mon DEA qui me prépare à ma thèse, j’ai tout interrompu pour rentrer sur le banc de l’école pour faire le Droit dont je suis d’ores et déjà Gradué  ».

Pourquoi retient-il par coeur les textes qui régissent l’Union, NDANGA déclaré qu’il a répondu, alors Président de la Commission de Formation Professionnelle et Syndicale de l’Union, à l’appel de l’ancien Président, feu Joseph Boucar Kasonga Tshilunde d’heureuse mémoire, d’avaler les textes légaux, règlementaires et statutaires qui régissent la profession, pour se former davantage et mériter de poursuivre son oeuvre après son mandat en 2024. Ce qui lui donne une longueur d’avance sur ses contemporains dont Kabulo Muana Kabulo et Baelenge qui semblent n’avoir jamais épluché un seul texte, ni de la loi de la régulation, ni de l’autorégulation pour se jeter dans une confusion qui les sort du monde des hommes normaux.

Il se dit donc serein et attend la fixation de l’appel pour prouver la fin de la carrière de Kabulo qui refuse de sortir par la grande porte.

Dossier à suivre

CP

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