Au total, six (6) cas liés au Monkeypox (variole de singe) dont un cas à Bukavu et cinq (5) dans le territoire de Mwenga, ont été répertoriés dans le Sud-Kivu, une province située dans la partie orientale de la République Démocratique du Congo (RDC). Cette nouvelle vague de contamination s’ajoute à un autre cas déjà enregistré depuis la semaine dernière toujours à Mwenga.
La nouvelle a été confirmée par la Division provinciale de la Santé du Sud-Kivu, par le biais de son chargé de communication lors d’une intervention à la presse le week-end dernier.
À en croire le Docteur Claude Bahizire, quatre-vingts-quatorze (94) autres personnes ayant été en contact avec les cas confirmés se trouvent être sous surveillance.
« Ces cas sont suivis. Le Monkeypox est une maladie très contagieuse. Si elle est négligée, elle peut entraîner des cas de mortalité. Si la population arrive à suivre les conseils de professionnels de santé, elle peut s’en sortir », a-t-il dit.
Par traitement préventif, la population est appelée à respecter les mesures arrêtées par les professionnels de santé.
La variole de singe ou Monkeypox, faut-il le signaler, a un mode de transmission se faisant d’un animal malade à un homme et de l’homme déjà atteint à l’homme sain. Traitée symptomatiquement, la variole de singe se remarque par de gros boutons sur tout le corps.
Jacob Séraphin Nkita