Christian Bosembe est monté au créneau contre certains médias internationaux qui se sont donné pour job, l’apologie du terrorisme en diffusant de fausses informations sur des prétendues avancées des terroristes du M23 ignorant les prouesses des FARDC, une façon tendancieuse de traiter les informations pour RFI, TV5, France 24 que le Président du Conseil Supérieur de l’audiovisuel et de la Communication, CSAC a menacé de suspension s’ils persistent dans la même logique.
Ces medias violent la souveraineté de la République démocratique du Congo. Intolérable, a tapé du poing Bosembe. Un principe non négociable pour lequel, il ne transigerait pas, a-t-il indiqué. L’impression qu’offrent ces médias internationaux est d’oeuvrer pour un camp, celui des agresseurs via les terroristes du M23. Un mouvement criminel de la trempe de l’armée hitlérienne.
Nul besoin de rappeler que le M23 est cité dans tous les rapports internationaux pour les atrocités comises en RDC. De ce faiit, que les médias internationaux s’autorisent de donner des informations sur le succès d’un conglomérat des tueurs, aucun État digne de ce nom, ne saurait tolérer pareille liberté. La liberté d’expression oui mais dans le respect des normes établies. C’est dans ce sens qu’il faut placer les propos de Christian Bosembe qui a menacé d’agir.
Le CSAC étant le seul organe chargé de réguler la marche des médias en République démocratique du Congo, son Président peut bien sévir dans le sens de suspendre les organes précités. Il s’agit de protéger la Nation en danger, et ça c’est non négociable.
Zamenga Odimbale