A l’occasion de la journée mondiale du travail, célébrée le 1er mai de chaque année, José Kadima, président du syndicat, Convention de lutte pour les employés, CLE, pense qu’il s’agit « d’un jour de bilan pour nous prémunir contre les dérives de l’emploi, de prévoyance sociale et professionnelle.
« C’est pour nous un jour de bilan pour nous prémunir contre les dérives de l’emploi, de prévoyance sociale et professionnelle », a-t-il confié.
Chers camarades, poursuit Kadima, en ce jour du 1er mai 2020, le Syndicat, Convention de Lutte pour les employés, la CLE, votre syndicat vous souhaite une bonne fête du travail partout où vous êtes.
« Cette journée qui intervient dans les conditions difficiles de confinement, de port de masques, de distanciation sociale, de réduction des effectifs dans les entreprises à cause du COVID 19 doit nous interpeller sur la sécurité professionnelle et la stabilité de la carrière. Les conditions de travail se sont davantage détériorées sur les dernières années, ce qui encourage notre syndicat à garder la lutte dans ses valeurs fondatrices. Nos droits ne seront jamais un cadeau », a-t-il ajouté.
Il estime aussi que « cette fête du travail en 2020 doit permettre une réflexion poussée sur les nouvelles modalités de travail dictées par les NTIC. Avec le COVID 19, le TÉLÉTRAVAIL a été préconisé par le Ministre du travail et certaines entreprises alors qu’aucun cadre formel ne l’encadre.
« Les propositions ont été faites dans notre livre paru en 2017 et nous comptons bouger les lignes pour une adaptation de la RDC au capitalisme numérique », a conclu José Kadima.
JKM