La Synergie « Congo n’est pas à vendre » en collaboration avec Agir pour les élections transparentes et apaisées (AETA) et ECCHA ont procédé vendredi 25 septembre, au lancement de la deuxième phase de la campagne de mobilisation citoyenne autour de l’audit de la gestion de la commission électorale nationale indépendante (CENI) à Kinshasa.
D’après le Coordonnateur de la campagne « Congo n’est pas à vendre, Pablo Muke, durant deux jours soit du 25 au 26 septembre 2020, les jeunes des mouvements citoyens et les organisations de la société civile seront mobilisés autour de la question relative à l’appropriation de la gestion du processus électoral de 2012 à 2019 en perspective des élections qui profilent à l’horizon.
» Il s’agit là du lancement de la deuxième phase de notre campagne « le Congo n’est pas à vendre ». Et il y a une série d’activités qui sont prévues, entre autres celle-ci qui consiste à mobiliser les jeunes autour de la question relative à l’appropriation de la gestion du processus électoral de 2012 à 2019. En terme de cette gestion, nous voulons à ce que les jeunes s’approprient les différentes préoccupations et avis sur cette gestion et bien entendu qu’ils se mobilisent à leur tour », a dit Pablo Muke à ACTU7.CD.
Aaron Mukalengi,
Coordonnateur permanent chargé des Actions et de la Mobilisation au sein du mouvement citoyen ECCHA-RDC a pour sa part, rappelé le rôle que joue les mouvements citoyens et les organisations de la société civile dans la lutte contre la corruption.
» La société civile peut influencer les caractères relatifs à la corruption pour la bonne gouvernance, les organisations de la société civile et les mouvements citoyens peuvent jouer un rôle significatif dans la lutte contre la corruption. Cela, en contribuant à la sensibilisation », a-t-il indiqué.
Le procureur près la cour des comptes Philippe Kayumba a été également convié à ces assises.
Dostin Eugène Luange