Thierry Mosenepwo , ouvre un coin de pan du pouvoir kabiliste géré selon lui par des personnalités sans identifié politique, genre Néhémie Mwilanya, ancien directeur de cabinet du président de la République honoraire, Joseph Kabila.
Après le changement intervenu au sommet de l’Etat, Néhémie Mwilanya qui a reçu en cadeau : la direction du Front Commun pour le Congo, FCC se croit toujours permis de tout jusqu’à user de la malice lors de la coalition FCC – CACH dans l’espoir de bouger les choses en faveur du retour au pouvoir de Joseph Kabila selon les prescrits de sa constitution qui n’interdit pas à Kabila de retourner au pouvoir d’Etat on ne sait par quelle alchimie.
Ce proche de Lambert Mende charge Néhémie Mwilanya en l’accusant d’avoir provoqué une crise initiale au sein du FCC après l’échec dans sa tentative d’induire Félix Tshisekedi en erreur. Une crise qui a provoqué la mise à l’écart de l’avocat au profit de Raymond Tshibanda. Des vérités crues en face. Thierry Mosenepwo remonte les bretelles à un ancien tout puissant membre de la cour kabiliste parvenu selon lui dans les couloirs de celle-ci, sans un quelconque parcours politique ailleurs comme dans le PPRD.
Une véritable autopsie de la trajectoire d’un proche du chef dans une lettre ouverte loin de faire garder intact l’équilibre au destinataire. Défendre l’illusion est une prétention ne correspondant pas à la taille de Mwilanya. Voilà que confondant les époques, le prof se trouve aujourd’hui dans une position inconfortable, à la limite, aux abois. Néhémie Mwilanya Wilondja est à ce jour, méconnaissable politiquement. C’est la conséquence, à lire la lettre de Thierry Mosenepwo, de l’immaturité portique de celui qu’il dit n’avoir connu que les lambris dorés du pouvoir au palais de la nation où fut proclamée, il y a 62 ans, l’indépendance du Congo.
Halte au pouvoir à la Poutine, la Russie n’est pas le Congo. Malheureusement pour Mwilanya qui prend son temps rien que pour porter des critiques ratées sur les autres sans jeter un coup d’oeil sur le rétroviseur des 18 années chaotiques de son mentor en disgrâce.
Zamenga Odimbale