Le Président de la République Démocratique du Congo (RDC) Félix Tshisekedi a reçu, le mardi 22 août, une délégation du Congrès américain conduite par le républicain John James et la démocrate Sara Jacobs, tous deux membres de la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants.
Devant la presse, la démocrate Sara Jacobs a fait savoir que cette visite traduit l’appui des États-Unis d’Amérique à la RDC.
« Nous sommes venus pour montrer l’appui des États-Unis au Gouvernement de la RDC et souligner encore l’importance de notre relation stratégique que nous voulons plus forte et toujours chaleureuse », a-t-elle déclarée.
De son côté, le républicain John James qui est également Président du sous comité sur l’Afrique au sein de la Commission des Affaires étrangère à la chambre des représentants du congrès des États-Unis d’Amérique, a indiqué que la plus grande ressource de la RDC n’est pas ses minerais mais sa population. Selon lui, cette audience a tourné autour des droits de l’homme, de la sécurité et de l’économie pour aider la population congolaise à bénéficier de ses richesses du pays.
« La plus grande ressource de la RDC, ce ne sont pas ses minerais mais sa population. Nous avons donc parlé des droits de l’Homme, de la sécurité et de l’économie pour aider la population congolaise à bénéficier de ses richesses », s »est-il exprimé.
Il a, par ailleurs, souligné que les États-Unis d’Amérique sont prêts à investir dans la construction des infrastructures, le développement de l’agriculture, la construction des ponts et des chemins de fer.
« Nous voulons aider la RDC à bâtir son économie et être un grand leader en Afrique grâce au développement que nous voulons construire ensemble », a-t-il conclu.
Selon la presse présidentielle, un groupe bipartisan (Républicains et Démocrates) du Congrès américain travaille actuellement sur un projet législatif pour renforcer le partenariat stratégique entre Washington et KInshasa.
Cette délégation parlementaire américaine, faut-il le souligner, avait été accompagnée par Lucy Tamlyn, l’ambassadeur des États-Unis d’Amérique en RDC.
Frank Kalonji