Depuis des mois déjà, le prix Nobel de la paix 2018, Denis Mukwege ne jure plus que sur la politique, certainement, motivé par le goût du lucre et de célébrité. Un domaine loin de prêcher la paix en Afrique.
Il s’illustre dans des déclarations de nature à inquiéter les consciences les plus tranquilles. Le médecin de Panzi, « réparateur des femmes » s’est fait opposant au régime en place. Abandonnant les malades à Panzi , il est même cosignataire des certaines déclarations incendiaires de l’opposition. Tout récemment, il est compté parmi les participants à la marche de certains candidats président de la République prévue le 27 décembre prochain en contestation de ce qu’ils qualifient de simulacre d’élections.
Mukwege refuse de reconnaître son échec pourtant prévisible à la présidentielle du 20 décembre. L’homme manque la sportivité oubliant que pour chaque compétition, il y a toujours un gagnant et un perdant. Denis Mukwege refuse la paix au profit de l’incendie. Il y a lieu de s’interroger sur les critères ayant prévalu à sa sélection en qualité de prix Nobel de la paix. Le médecin a fini par dévoiler sa face cachée, son âme incendiaire.
Au finish, que réclament les frondeurs ?
Réorganiser les élections mais avec quels moyens financiers ? Quid de la faisabilité ? Deux questions lancinantes qui jettent dos contre mur , les organisateurs de la marche parmi lesquels se recrute Mukwege. Seulement, c’est sans compter aussi avec la maturité du peuple prêt à infliger un échec cuisant aux thuriféraires de tout bord et de tout acabit.
Zamenga Odimbale