C’est peut-être la dernière étape de l’offensive russe sur l’Ukraine, l’assaut en vue sur Kiev, la capitale du pays.
Après plus au moins 15 jours d’intenses bombardements, les russes s’approchent de l’objectif final s’emparer de Kiev, le siège des institutions et y installer des autorites de leur obédience. Pour leur part, les occidentaux ont choisi la geurre économique que militaire contre la Russie en appui à l’Ukraine. Officiellement, les puissances planétaires via l’OTAN craignent, une troisième geurre mondiale en attaquant le pays de Poutine également, puissance mondiale mais pas membre de l’OTAN créé peu après la fin de la deuxième guerre mondiale, au plus fort de l’influence des blocs Est – Ouest. Ce que les spécialistes ont appelé, «Geurre froide». Le pacte de Varsovie réunissait à son tour les pays de l’Est, sous la direction de l’U.R.S.S, notoirement communistes.
Revenons au vif du sujet après cette parenthèse pour dire que seule la Pologne autrefois sous influence russe, a accepté sur demande des Etats Unis de fournir à l’Ukraine son voisin, des avions de combat, des vieux Antonov de fabrication russe en soutien aux efforts de geurre. Cette option est née de la controverse selon laquelle, les militaires Ukrainiens n’ont pas d’expérience requise dans le pilotage des avions de combat Americains récents.
Depuis, rien de concret, la Pologne retourne la balle au pays de l’oncle Sam à qui elle propose d’accepter de livrer ces avions à l’Ukraine. Une réaction qui atteste la peur bleue des Polonais de se mettre sur le chemin de la Fédération de Russie après la mise en garde de Poutine de considérer de co- belligérant tout pays voisin qui s’hasarderait d’apporter son aide militaire à l’Ukraine.
D’où le blocage, étant donné que les Américains ont de leur part rejeté la proposition polonaise. Un dilemme pour Zelensky appelé à s’assumer en cas de chute de Kiev, la capitale.
Zamenga Odimbale