Dossier Kamerhe : « le magistrat suprême peut corriger un mal jugé » (Michel Moto)

 

Des voix se lèvent pour exiger la libération après la mise en liberté de Benjamin Wenga et Modeste Makabuza, tous deux directeurs généraux de l’OVD et la de SOCOC, condamnés pour détournements des fonds du programme de 100 jours de Félix Tshisekedi.

Pour sa part, l’assistant de Vital Kamerhe, Michel Moto a signifié via son compte Twitter ce samedi 09 décembre que le pouvoir revient au magistrat suprême de corriger un mal jugé, mais a également encouragé la justice à faire preuve de rigueur dans l’examen et le traitement des dossiers pour aider le président de la République à matérialiser son programme.

« Le Magistrat suprême peut corriger un mal jugé. Nous encourageons la justice à faire preuve de plus de rigueur dans l’examen et le traitement des dossiers afin de permettre au Chef de l’État de se concentrer plus efficacement à la réalisation de son programme », a-t-il écrit.

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Ce message intervient au moment où le président de la République, Félix Tshisekedi a accordé une mesure de grâce à plusieurs prisonniers notamment sont condamnés dans l’affaire de l’assassinat du feu président Mzee Laurent Désiré Kabila dont le colonel Edie kapend.

Il faut rappeler que, le directeur de cabinet du président de la République, Vital Kamerhe a été condamné à 20 ans de prison au cours du procès de 100 jours pour détournement. Son dossier se trouve en appel.

Osée Mfumfu, stagiaire

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