L’analyste politique et chef des travaux à l’université officielle Semuliki Beni (UOS), Éric Lukyo, oeuvrant au sein du parti politique Bloc Uni pour la Renaissance et l’Emergence du Congo ( BUREC) dans la ville cosmopolite de Beni, réagissant aux exigences de la population sur le départ de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation au Congo ( MONUSCO), donne une nouvelle piste de solution pour aboutir aux recommandations populaires.
Dans un entretien avec ACTU7.CD, ce vendredi 05 Août 2022, ce cadre du BUREC/Beni pense que « si un individu soit/un groupe de pression parvenait à récolter mille (1000) signatures, s’en suivra le départ définitif de cette force dite internationale, qui a longtemps profité de la richesse de la République Démocratique du Congo (RDC) ».
Affirmant que « la MONUSCO n’a plus rien à faire sur le sol congolais et n’a qu’à empaler bagages, il « appelle les groupes de pression et tous les habitants à ne pas baisser la corde ».
Depuis le 25 du mois de juillet 2022, les manifestations de colère pour le départ définitif de la MONUSCO, s’organisent dans différentes régions de la province du Nord-Kivu mais sans succès.
JC Mbafumoja, à Beni