L’atelier de formation des formateurs provinciaux de lutte contre les conflits, les violences sexuelles, les violations des droits humains de la femme/jeune fille et la promotion de la paix est ouvert le mardi 1er septembre dans le Kasaï Oriental. Organisé par l »ONGD « Fondation Moyo » avec l’appui financier de l’ONU/FEMMES, cette formation de cinq jours regroupe les délégués des différentes structures œuvrant la province.
La représentante du ministre provincial du Genre, Rose Bambila, a déclaré ouverte cette session de formation des formateurs, tout en formulant quelques recommandations aux participants. « A toutes les participantes et participants, en tant que premiers bénéficiaires de ces pré-requis, soyez dispo et actifs pour maîtriser tous les modules prévus par les organisateurs », a-t-elle recommandée.
« Comme outils et supports d’information mis à votre portée, j’invite les facilitateurs et facilitatrices de cet atelier d’éviter toute complaisance et de bien exploiter toute la matière prévue à l’agenda durant la tenue de cette formation en vue d’atteindre les objectifs fixés », a-t-elle précisé
A la même occasion, la coordonatrice de la Fondation Moyo, Linda Mampuya a dit sa satisfaction pour le lancement de cette formation. « Pour pouvoir autonomiser et renforcer les capacités, il faut être armé. Cette formation permettra à tous les formateurs d’avoir une mise à niveau par rapport aux sujets qui traitent des violences faites aux femmes », a fait savoir Linda Mampuya.
Pour la coordonatrice de la Fondation Moyo, « nous n’avons pas oublié de sensibiliser les femmes sur la pandémie de COVID19. Nous disons merci à notre partenaire pour la confiance faite à notre structure, nous allons atteindre les objectifs fixés par notre partenaire ONU/FEMMES ».
Cette session de formation des formateurs provinciaux de lutte contre les conflits, les violences sexuelles, les violations des droits humains de la femme/jeunes filles et promotion de la paix regroupe les membres des quelques structures de la province et ira jusqu’au 5 septembre.
Hervé Landry Ngoyi, à Mbuji- Mayi